\nOn sensibilise donc les voyageurs \u00e0 pratiquer le tourisme vert qui n’est pas dangereux pour l’environnement. En effet, dans le cadre du tourisme vert, les ressources et la population locale sont plus prot\u00e9g\u00e9es. Parfois, pour favoriser le tourisme, la population locale est oblig\u00e9e de quitter l’endroit o\u00f9 elle vit pour construire des infrastructures d\u00e9di\u00e9es au tourisme. D’ailleurs, pour les faire partir, les autorit\u00e9s ont souvent recours \u00e0 la violence. En plus de cela, les destinations sont model\u00e9es de mani\u00e8re \u00e0 plaire aux touristes afin de mieux s\u00e9duire les touristes. Non seulement, la population locale en ressort victime, mais la faune et la flore en subissent aussi les cons\u00e9quences lourdes.
\nFavoriser l’\u00e9cotourisme qui est une forme de tourisme durable est donc essentiel.
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Il permet de prot\u00e9ger et de restaurer l’environnement : les touristes sont invit\u00e9s \u00e0 participer \u00e0 la protection de l’environnement tout en profitant de leur s\u00e9jour. Cette forme de tourisme permet de pr\u00e9server l’environnement de mani\u00e8re consid\u00e9rable : d\u00e9forestation plus r\u00e9duite, moins de d\u00e9chets, pollution limit\u00e9e, \u00e9cosyst\u00e8mes prot\u00e9g\u00e9s, etc. Les touristes sont par exemple appel\u00e9s \u00e0 utiliser des moyens de transports moins polluants \u00e0 l’instar du cheval, du v\u00e9lo, du bateau \u00e0 voile, la marche, etc. Contrairement au tourisme de masse et traditionnel, l’\u00e9cotourisme a des r\u00e9percussions moins importantes sur l’environnement. Pratiquer le tourisme vert incite aussi le voyageur \u00e0 avoir un comportement d’\u00e9co-consommateur afin d’\u00e9viter la surconsommation.<\/p>\n![\"\"](\"http:\/\/www.larivolte.com\/wp-content\/uploads\/2017\/10\/toursime-vert-3.jpg\")
Durant tout son s\u00e9jour, le voyageur prendra toujours le temps de r\u00e9fl\u00e9chir \u00e0 ce qu’il fait, il fera attention \u00e0 l’impact de ses actes sur l’environnement. Ainsi, lorsqu’il choisira l’h\u00e9bergement ou les moyens de transports, il privil\u00e9giera ceux qui ne vont pas \u00e0 l’encontre du principe de l’\u00e9cotourisme. Le slow travel entre dans la cat\u00e9gorie du tourisme vert : prendre son temps pour mieux s’impr\u00e9gner de la culture locale, emprunter des moyens de transports lents mais non polluants. Dans la cat\u00e9gorie h\u00e9bergement, il peut choisir les g\u00eetes verts, les maisons \u00e9conomes, les habitats en pleine nature, etc. Parmi les activit\u00e9s \u00e0 r\u00e9aliser, il fera en sortes de choisir celles qui le rapprochent plus de la nature : parcs naturels, les jardins, etc. Il peut aussi participer au d\u00e9veloppement de l’\u00e9conomie locale en consommant des produits de l’artisanat local (art, nourriture, d\u00e9co, etc.).<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"